EVJF et EVG : le grand saut

2019-10-01T09:32:58+02:00Mis à jour le 01/10/2019 | Publié le 28/06/2017|Canyoning Nice|

  Des futurs mariés en quête de sensations fortes, on en voit de plus en plus. Et si on y réfléchit deux secondes, ça se tient. Puisque sur un plan symbolique, il s’agit de faire le grand saut, autant l’éprouver dans le réel. Les baptêmes en parachute et le saut à l’élastique ont la cote depuis plusieurs années. Mais le canyoning sur la Côte d’Azur aussi, et de plus en plus. Au Bureau des moniteurs, ça nous plaît de vous régaler avant le jour J. Et pour cela, on a justement une pléiade de sauts à vous proposer ! De quoi vous donner des sensations mémorables à coups de plongeons dans des bassins naturels aux couleurs stupéfiantes. Mais avant de vous parler canyon, revenons sur ce fameux enterrement de vie de célibataire. D’où sort-il ?   Maison close et strip-teaseur Ils auraient pu trouver plus réjouissant comme appellation, ceux qui font l’Histoire. Pas vrai ? L’enterrement, c’est tout de même pas joyeux comme événement. De là à dire qu’on jette à la poubelle une vie de folle éclate pour s’ennuyer à deux, il n’y a qu’un pas. Un pas qu’un nombre non négligeable d’entre nous est ravi de faire ! Allez comprendre… Blague à part, l’enterrement de vie de célibataire est un rituel occidental qui remonte au 17e siècle. À l’époque, on ne fêtait que celui des garçons, évidemment. Comme on peut l’imaginer, le maître-mot de la soirée était « dévergondage ». On invitait le futur marié à absorber une grande quantité d’alcool avant de se diriger vers une maison close. Soft. Les femmes, elles, ont dû attendre les années 70 pour avoir droit à leur « enterrement ». Globalement, cela consistait à picoler mais pas à fricoter. Ces braves jeunes filles se mettaient en goguette et infligeaient des gages à la future épouse. Rapidement, on a pris […]